Je sais pas vous, mais moi…

Mais moi…

Quand le quotidien me submerge, quand les drames humains personnels et collectifs prennent toute la place, quand je perds le goût de l’autre et l’estime de moi

Je rentre chez moi

Et là, dans mon bel intérieur, pas toujours, mais parfois, je retrouve le goût et la force de repartir

Et… je sais pas pour vous mais pour moi,

Parce que l’année 2015 m’a ré-appris les dangers de l’intolérance et du mal de vivre, et l’importance du vivre ensemble,

J’ai maintenant envie de partager ce qui reconstitue mes forces.

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